Au Matin de la Vie
Tel un brouillard qui se déchire
Découvrant le Dieu de Jacob
Mon cœur s’en va à la dérive
Me souvenant des jours de Job.
Il n’y a qu’une gratuité
En Dieu demeure cette grâce
En recouvrant l’humanité
Nous relisons sa longue trace.
Nous retrouvons le beau rivage
Lisant les Anciens, les Nouveaux
Habitant notre paysage
Où demeurent quelques travaux.
Telle une belle randonnée
Au vent d’été se reconstruit
Cana, la nouvelle vinée
Où l’espérance nous conduit.
J’ai vu passer comme la rose
Les pages de la Tradition
Où le Livre se recompose
Au jardin de l’adoration.
Cécile Meyer-Gavillet
Cette réflexion s'inspire de la retraite théologique
du 13 au 17 juillet 2022
« Unifie ton cœur », avec le frère Sylvain Detoc
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